Nous avons adopté à l’Assemblée nationale le 1er décembre, en première lecture, la proposition de loi relative à l’extension du délit d’entrave à l’IVG.
Toutes les personnes qui ont été trompées, dont l’accès à une IVG a été entravé sur Internet, auront la possibilité de faire reconnaître le préjudice subi devant la justice.
Nous avons réussi à combattre dans la loi les discours cherchant à détourner les femmes d’une IVG, les opinions très virulentes qui s’exprimaient sur internet contre le droit à l’avortement.
Avec cette loi, toutes les femmes, qui font le choix – ou non – d’avorter, celles qui hésitent encore, ont le droit d’accéder à une information non mensongère.